Macron vu par Rousseau
Faut-il se mettre à la place d'autrui ? Ou faut-il intégrer les réflexions des autres ?
La recherche est un père (une mère) ou un représentant ? Le dialogue n'est-il pas d'avancer pour un ensemble et non foncièrement pour une minorité ou une autre ? Il y a-t-il une singularité collective ?
La raison n'est-elle pas la volonté de puissance de Friedrich Nietzsche ?
L'état n'est-il pas une singularité à part entière ? Le souverain n'est-il pas l'ascendant du peuple ? Besoin de prendre le point de vue de l'autre, de conscientiser le tableau de vie de l'autre ? Pour notre propre intérêt, pour son propre intérêt ?
Le souverain n'est-il pas le chef du contrat social ? L'intérêt n'est-il pas de faire du bon pain pour gagner de l'argent. L'égoïsme n'est-il pas l'honnêteté par rapport à cette fausse bienveillance du savoir ce que tu penses et du savoir ce que tu as besoin ?
Penser à soi n'induirai t-elle pas aux pensées aux autres ? Penser à soi ne supprimerai t-elle pas la focalisation de l'autre et donc la haine de l'autre ? Être soi et l'oubli de l'autre n'apporterai t-elle pas la liberté de l'autre ?
Se substituer à l'autre est-il le rôle du Président ? La substitution est-elle possible ? Alors, pourquoi le peuple veut se substituer au président ? Il y a-t-il une identité ? Ne sommes nous pas tous en influence du surmoi ? La bienveillance n'est-elle pas simplement l'influence du surmoi ?
La difficulté du souverain n'est-elle pas de ne pas se mettre à la place d'autrui afin de créer une identité citoyenne et non identitaire et donc minoritaire. Le souverain n'est-il pas le "moi" de l'état et le peuple son "Surmoi" ? Le bien-être n'est-il pas dans la grandeur du "Moi" ?
La raison ne serai t-elle pas dans l'égoïsme de l'état et donc du souverain ? Le populisme n'est-il pas une augmentation du "Surmoi" et donc de donner la responsabilité de soi à autrui ? L'égoïsme est-il forcément le "Mal" dans la mesure qu'il est dans le bien de l'être ? Le bien de l'être n'induit-il pas le bien avec autrui ?
La nature humaine n'est-elle pas dans la volonté de puissance et non dans l'instinct et la barbarie. Le "Surhomme" intègre les problématiques sans se substituer. Puissance n'est pas écrasement. La peur d'être soi-même est la faiblesse et donc le rejet de la faute sur autrui. Vouloir être soi n'est-elle pas la force de l'état et donc du souverain ? Le populisme n'est-il pas faiblesse dans sa puissance du "Surmoi" ? L'abondance du "Surmoi" n'apporte t-il pas l'affaiblissement de soi et donc la haine d'autrui ?